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Cette étude utilise les données de l’enquête communautaire sur les forces de travail (EU-LFS) pour analyser comment les statuts sociaux croisés façonnent la participation au marché du travail.
Le rapport se concentre sur l’intersection entre le sexe et le statut de migrant.e et évalue la probabilité que les femmes mobiles et les femmes nées hors de l’UE participent au marché du travail de l’UE. En outre, il examine comment l’éducation, l’état matrimonial et la parentalité, mis en évidence par la recherche comme des déterminants clés de la participation au marché du travail, interagissent avec le sexe et le statut de migrant.
Dans l’ensemble, le rapport confirme que l’intersectionnalité est une approche analytique fructueuse pour améliorer la compréhension des mécanismes différents et complexes qui peuvent façonner la participation des femmes au marché du travail. En particulier, à la lumière des effets interdépendants du sexe et du statut de migrant.e, le rapport souligne la nécessité d’une stratégie globale pour l’intégration des femmes non natives (à la fois mobiles et nées hors de l’UE) sur le marché du travail.
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