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La pandémie du Covid-19 a montré que les pays ayant des femmes aux postes de leadership ont mieux géré les effets du virus. D’ailleurs, ce sont les femmes qui ont assumé la plus grande part de surcharge dans la gestion de la crise sanitaire et la responsabilité des services domestiques supplémentaires. Toutefois, elles ont été aussi les victimes principales de la pandémie, puisque la crise a aggravé les inégalités existantes dans les secteurs du travail les plus vulnérables. Aussi, les femmes ont-elles subi durant cette période plus de violences et de harcèlements dans nombre de pays du monde à cause du huis clos causé par le confinement. D’où vient ce paradoxe entre la reconnaissance de l’apport des femmes et de leur engagement et le déni que constituent les violences à leur encontre ? Beaucoup d’organisations de la société civile sont en train de lutter pour que cette pandémie puisse jouer un rôle à la fois transformateur et positif et mette en avant l’importance du leadership féminin et de l’égalité des sexes.
Cet article fait partie du numéro 30-31 de la publication de l’IEMed «Quaderns de la mediterrània»: Dialogue interculturel: se reconnaitre dans la culture de l’autre.
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Cette plateforme s'inscrit dans l'Axe 1 « Renforcer les capacités des acteurs de l'égalité » du Fonds de Solidarité Prioritaire « Femmes d'avenir en Méditerranée » financé par le Ministère français de l’Europe et des Affaires étrangères et porté par l'Institut européen de la Méditerranée, dans le cadre du projet « Développer l'autonomie des femmes » labellisé par l'Union pour la Méditerranée.
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