Inscrivez-vous et échangez
avec les membres du réseau.
Les femmes en Jordanie veulent-elles travailler ? Que pensent les hommes des femmes qui travaillent dans leur famille ? Dans quelle mesure les croyances personnelles et les attentes de la société influencent-elles la décision d’une femme de travailler et pourquoi cette question devrait-elle être prise en compte dans les interventions de développement ? Le gouvernement jordanien et ses partenaires de développement ont beaucoup investi dans la promotion de l’inclusion économique des femmes. Cependant, la Jordanie a le taux de participation des femmes à la population active (FLFP) le plus faible au monde d’un pays qui n’est pas en guerre. En tant que praticiens du développement travaillant sur des questions liées à l’inclusion sociale et économique dans la région du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord (MNA), les auteurs nous aident à comprendre les contraintes contraignantes qui empêchent les groupes exclus, tels que les femmes et les jeunes, d’avoir des chances égales d’améliorer leur qualité de vie.
L’objectif de l’étude était de mesurer dans quelle mesure les normes et croyances sociales concernant le genre influencent l’accès et la participation des femmes au marché du travail. Elle visait à donner un aperçu des obstacles auxquels les femmes peuvent être confrontées et à déterminer dans quelle mesure les croyances individuelles par rapport aux normes sociales jouent un rôle.
Cette plateforme s'inscrit dans l'Axe 1 « Renforcer les capacités des acteurs de l'égalité » du Fonds de Solidarité Prioritaire « Femmes d'avenir en Méditerranée » financé par le Ministère français de l’Europe et des Affaires étrangères et porté par l'Institut européen de la Méditerranée, dans le cadre du projet « Développer l'autonomie des femmes » labellisé par l'Union pour la Méditerranée.
Membres fondateurs
Commentaires
Pour écrire un commentaire inscrivez-vous et échangez avec les membres du réseau.
Inscrivez-vous sur la Fondation