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Cette recherche se concentre sur l’impact des partis politiques et des quotas électoraux sur la participation politique des femmes dans le contexte de l’Islam.
Le genre est considéré comme une classification d’être une femme ou un homme non seulement par identification biologique, mais aussi comme une classification ancrée dans la culture et dans les structures de pouvoir des familles, des communautés et des États, qui ont le genre en soi comme principe d’organisation. La question de la femme (dispute des femmes) est identifiée comme un problème personnel et social complexe, et ne peut donc pas être rejetée comme une quête valable d’égalité ou de parité des sexes. Selon l’analyse quantitative de l’ensemble des données de l’enquête menée dans certains pays du Moyen-Orient, les quotas électoraux et les sièges occupés dans les parlements précédents ont une incidence sur les nominations des femmes dans les parlements actuels.
L’étude de cas comparative de l’Islam et de sa relation avec la participation politique des femmes a été menée pour huit pays : Iran, Égypte, Arabie Saoudite, Turquie, Jordanie, Yémen, Chypre et Koweït. L’ensemble de données statistiques a été tiré du travail de Kaasem intitulé "Party Variation in Religiosity and Women’s Leadership" : A Cross-National Perspective, 2008-2010", publié par le Consortium interuniversitaire pour la recherche politique et sociale de l’Université du Michigan.
Cette plateforme s'inscrit dans l'Axe 1 « Renforcer les capacités des acteurs de l'égalité » du Fonds de Solidarité Prioritaire « Femmes d'avenir en Méditerranée » financé par le Ministère français de l’Europe et des Affaires étrangères et porté par l'Institut européen de la Méditerranée, dans le cadre du projet « Développer l'autonomie des femmes » labellisé par l'Union pour la Méditerranée.
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