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Le Liban occupe une position stratégique dans la région méditerranéenne et sa position contribue à en faire à la fois un pays d’origine, de transit et de destination pour la traite des êtres humains. Le Liban est également devenu un pays de destination pour la traite à des fins de travail forcé et d’exploitation sexuelle. Les principaux pays d’origine des travailleurs/travailleuses sont le Sri Lanka, les Philippines, l’Ethiopie, le Kenya, le Bangladesh, le Népal et Madagascar, tandis que les victimes d’exploitation sexuelle viennent principalement des pays d’Europe de l’Est, du Maroc, de Syrie et de Tunisie.
L’objectif de ce rapport est de présenter un aperçu des initiatives actuelles de lutte contre la traite au Liban et de définir les rôles et responsabilités des acteurs gouvernementaux, non gouvernementaux et autres acteurs de la lutte contre la traite. Le rapport présente également des données et des analyses sur les travailleuses domestiques migrantes (MDW), les femmes exploitées dans l’industrie du sexe et la traite des enfants. En outre, il se penche sur les réglementations existantes sur les travailleurs étrangers au Liban.
Cette plateforme s'inscrit dans l'Axe 1 « Renforcer les capacités des acteurs de l'égalité » du Fonds de Solidarité Prioritaire « Femmes d'avenir en Méditerranée » financé par le Ministère français de l’Europe et des Affaires étrangères et porté par l'Institut européen de la Méditerranée, dans le cadre du projet « Développer l'autonomie des femmes » labellisé par l'Union pour la Méditerranée.
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