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Amira Merabet, une femme de 34 ans, a été brûlée vive dans la ville algérienne d’El Khroub en août. Son crime: refuser les avances d’un homme. Le meurtre a choqué l’Algérie et des manifestations ont eu lieu à Constantine, Oran, Alger et Béjaïa pour rendre hommage aux femmes victimes de violence. Ce n’était pas un crime sans précédent. A Béjaïa, la photo de Merabet a été placée parmi celle des femmes assassinées par les islamistes dans les années 1990. Ils ont inclus Katia Bengana, 17 ans, qui a été tuée pour avoir refusé de porter le hijab.
L’enchaînement de ces deux meurtres montre que les souvenirs de la guerre civile qui a fait rage de 1992 à 2002 restent vifs en Algérie. Et la mort de Merabet montre que la lutte des femmes algériennes pour les droits n’est ni terminée ni oubliée, comme le montre cet article.
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