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Dans son livre de 2005 intitulé «Les islamistes marocains et les défis de la monarchie» (Paris: Éditions La Décourverte, 2005), l’écrivaine tunisienne Malika Zeghal affirme que la question de la nation marocaine a été - depuis plus d’un siècle – conçue en relation avec l’Islam. Elle argumente toutefois qu’une question supplémentaire a été ajoutée: celle de la représentation et de la participation politique de chaque citoyen. Cet espace créé pour la citoyenneté a été initié, au moins en partie, par les revendications des féministes marocaines pour les droits des femmes et la laïcisation du Code de la famille, un ensemble de lois régularisant les relations familiales, notamment le mariage, le divorce, le droit de garde et l’héritage. Cet article décrit la notion d’égalité des droits, codifiée par le Code de la famille modifié en 2004 et présentée par deux des principales organisations non gouvernementales féminines au Maroc - L’Union de l’action féminine et l’Association démocratique des femmes du Maroc. Le document souligne également les défis à la mise en œuvre du Code, en particulier dans les zones rurales, et discute d’une idéologie alternative de la justice de genre, qui est antérieure au Code de la famille de 2004.
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