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L’étude porte sur l’impact de la violence sur les enfants d’âge scolaire et sur les systèmes éducatifs dans neuf pays (Syrie, Iraq, Liban, Jordanie, Turquie, Yémen, Libye, Soudan et Palestine).
Les attaques contre les écoles et les établissements d’enseignement - parfois délibérés - sont l’une des principales raisons pour lesquelles les enfants ne vont pas en classe.
Seulement en Syrie, en Irak, au Yémen et en Libye, près de 9 000 écoles sont inutilisées. En Jordanie, au Liban et en Turquie, plus de 700 000 enfants syriens ne peuvent pas aller à l’école parce que l’infrastructure éducative nationale est surchargée et ne peut pas peser davantage sur les élèves.
La peur des enseignants qui quittent parfois leur poste et des parents qui ne veulent pas envoyer leurs enfants à l’école pour des raisons de sécurité sont d’autres facteurs qui ont poussé des millions d’enfants à quitter la classe.
Le rapport mentionne également comment cette situation contribue à l’augmentation du nombre de mariages des mineurs.
Le rapport met en lumière un certain nombre d’initiatives - comme l’auto-apprentissage et des espaces d’apprentissage élargis - qui aident les enfants à étudier, même dans les circonstances les plus désespérées.
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