Inscrivez-vous et échangez
avec les membres du réseau.
Alors que le récit dominant suggère que le Maroc est un champion de la stabilité et de la modération dans le «monde arabe», cet article conteste ce discours et affirme que le récit hagiographique de l’État sur les droits des femmes et l’égalité entre les sexes est problématique. Cet article attire également l’attention sur la discontinuité entre la focalisation juridique sur la violence à l’égard des femmes (VAW) par les groupes de défense des droits des femmes, d’une part, et les opinions et les besoins des femmes marocaines qui n’appartiennent pas à l’élite d’autre part. Cette focalisation sur les réformes dans l’espace juridique a, de manière concomitante, laissé les structures de pouvoir existantes, au cœur de l’inégalité au Maroc, incontestées. En illustrant ces deux arguments, l’article souligne également une relation asymétrique entre le gouvernement et les groupes de défense des droits des femmes, ce qui perpétue l’inadéquation de leurs approches.
Inscrivez-vous à notre bulletin mensuel et vous serez au courant des derniers contenus publiés sur notre réseau: actualités, événements, documents, pratiques partagées. . . Ne manquez pas cette opportunité! Lien
Cette plateforme s'inscrit dans l'Axe 1 « Renforcer les capacités des acteurs de l'égalité » du Fonds de Solidarité Prioritaire « Femmes d'avenir en Méditerranée » financé par le Ministère français de l’Europe et des Affaires étrangères et porté par l'Institut européen de la Méditerranée, dans le cadre du projet « Développer l'autonomie des femmes » labellisé par l'Union pour la Méditerranée.
Membres fondateurs
Commentaires
Pour écrire un commentaire inscrivez-vous et échangez avec les membres du réseau.
Inscrivez-vous sur la Fondation